Faut-il aller voir Vue sur mer, avec Angelina Jolie et Brad Pitt ? Notre avis
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- Publié le mercredi 9 décembre 2015 05:24
- Écrit par Programmes TV
Avec Vue sur mer, dans nos salles le 9 décembre, Angelina Jolie se met en scène pour la première fois aux côtés de son cher et tendre, Brad Pitt, dans une histoire de couple à la dérive. Les critiques, outre-Atlantique, n'ont pas été tendre avec ce huis-clos jugé prétentieux et ridicule. Des reproches justifiés ? Notre avis.Angelina Jolie revient derrière la caméra pour la troisième fois avec Vue sur mer, un psychodrame très inspiré du cinéma européen, qui raconte les déchirements d'un couple d'Américains passant ses vacances dans un hôtel du sud de la France. La star et son mari Brad Pitt forment ce duo de fiction, tandis que Mélanie Laurent et Melvil Poupaud incarnent deux jeunes mariés qui vont agir sur le couple comme un électrochoc. Quant à Niels Arestrup, il joue le patron d'un café qui se lie d'amitié avec Brad Pitt.
L’histoire : Un été, dans les années 1970, Roland, un écrivain américain, et sa femme Vanessa s’installent à l’hôtel dans une calanque du sud de la France. Le couple semble en crise. Tandis que lui peine à trouver l’inspiration et taquine un peu trop de la bouteille, elle ne quitte pas la chambre, semblant se morfondre dans une mélancolie sans fond. L’arrivée, dans la chambre d’à côté, de Léa et François, des jeunes mariés, va les amener à faire face aux impasses de leur propre vie.
Notre avis : Pour son troisième long métrage, et sa deuxième collaboration avec son mari (après Mr and Mrs Smith), Angelina Jolie s’est lancée dans un pari assez casse-gueule : filmer les déchirements d’un couple dans un huis-clos sombre et torturé. Ses références cinématographiques se voient comme le nez au milieu de la figure : Angelina lorgne du côté du film européen intello, célébrant à la fois Antonioni (pour la torpeur dans laquelle est plongé le personnage de Vanessa et la langueur du film), Bergman et Hitchcock (pour le voyeurisme et la perversion de ses personnages). Au départ, on craint le pire. L’installation de l’histoire, le côté poseur, très poupée du personnage de Vanessa (une ancienne danseuse dépressive mais toujours tirée à quatre épingles), agace, ou suscite le ricanement. Les dialogues sont trop écrits pour être vrais, et l’on se dit que le temps va être très long.
Universal
Mais Angelina Jolie l’a déjà prouvé par le passé : elle sait filmer. Les plans sont léchés, la lumière est belle, et peu à peu, ce rythme lent, ces répétitions qu’elle nous impose, finissent par nous porter. D’autant que le scénario ne se résume pas à la crise du couple, mais s’étoffe autour de la relation qui se noue avec le jeunes mariés. Certes, il y a des lourdeurs et des choses qui ne fonctionnent pas, comme cette révélation qui n’en est pas une, sur le soi-disant lourd secret à l'origine de la dépression de Vanessa. Mais au final, Angelina Jolie parvient à nous intéresser aux atermoiements de ce couple qui trouve son salut dans une forme de perversion.On y va ? Oui, si vous n'êtes allergique, ni à la lenteur, ni aux films trop bavards. De notre point de vue, ce Vue sur mer est loin d'être le navet annoncé.
Les confessions exclusives d’Angelina Jolie dans ELLE cette semaine !
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- Publié le vendredi 4 décembre 2015 04:42
- Écrit par Elle
Cette semaine, Angelina Jolie est la cover girl de ELLE. Dans un grand entretien avec l’écrivaine Marie Darrieussecq, l’actrice et réalisatrice dévoile les dessous de la réalisation de son dernier film, « Vue sur mer ». Comment diriger son mari dans des scènes de violentes disputes ? « Je vois le souci qu’il se fait pour mon personnage… ou sa frustration… et donc je comprends mieux ses frustrations avec certains aspects de moi. » Cette semaine, découvrez le portrait de Mélita Toscan du Plantier qui dirige désormais le festival du film international de Marrakech. Deux ans après le décès de sa fille, Kate Barry, Jane Birkin commente dans nos colonnes quelques-uns des clichés que la photographe avait réalisés pour ELLE. Retrouvez aussi le palmarès des best dressed 2015. Quelles sont les stars les plus lookées de l’année ? La réponse dans ELLE en kiosque jeudi.
Brad Pitt et Angelina Jolie voulaient avoir douze enfants
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- Publié le mercredi 2 décembre 2015 20:01
- Écrit par Voici
« On visait la douzaine ». Brad Pitt et Angelina Jolie ont six enfants ensemble : Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, Knox et Vivienne. Mais, fait incroyable, ils en voulaient plus ! L’acteur a révélé dans une interview qu’à la base ils en voulaient une douzaine. Oh my god !On ne peut pas dire que la famille Jolie-Pitt soit une petite famille. Brad et Angelina ont six enfants ensemble : Maddox Chivan, 14 ans, Pax Thien, 12 ans, Zahara Marley, 10 ans (adoptés par Angie alors qu’elle était encore célibataire, puis par Brad), Shiloh, 9 ans, et les jumeaux Knox et Vivienne, 7 ans.Comme toutes les grandes familles, cette joyeuse équipe vit au rythme des repas bruyants, des chamailleries et du capharnaüm (aidés quand même par une tripotée de nounous, de cuisiniers et de femmes de ménages). Et le comble dans tout cela, c’est que le it-couple voulait plus d’enfants ! C’est ce que Brad Pitt a révélé au Telegraph : « Avec Angie, on visait la douzaine, mais après six, on s’est retirés », a-t-il expliqué au magazine.L’acteur de 51 ans a également parlé de son rêve de jeunesse d’avoir une grande famille, témoin de l’expérience d’un camarade de collège qui avait cinq frères et deux sœurs : « C’était le bordel absolu durant les week-ends, se souvient-il, et tellement marrant. Sa mère préparait le petit-déjeuner pour tout le monde, amenant des œufs et des pancakes ça et là, et j’ai pensé : “C’est ce que je veux” ». Maintenant qu’il l’a vécu pour de vrai, Brad a compris sa douleur : avoir six enfants, ce n’est pas de tout repos !
Sous "l'effet Angelina Jolie", les mastectomies préventives ont doublé en Grande-Bretagne
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- Publié le dimanche 29 novembre 2015 12:45
- Écrit par La Dépeche
Deux ans après l'intervention télévisée de l'actrice Angelina Jolie, porteuse d'un gène l'exposant au cancer du sein et annonçant sa double mastectomie préventive, le nombre de chirurgies mammaires préventives n'a cessé d'augmenter révèle cette nouvelle étude britannique.Beaucoup se souviennent encore de la tempête médiatique provoquée par l'annonce, en mai 2013, de la double mastectomie qu'avait choisie de subir Angelina Jolie. L'actrice américaine porteuse d'une mutation des gènes BRCA1, dont était également porteuse sa mère, décédée d'un cancer du sein, y expliquait alors son choix personnel afin d'éviter un risque porté à 87% de développer un jour un cancer du sein. Sa décision a suscité un regain d'intérêt notable envers la recherche génétique du cancer du sein auquel une équipe de chercheurs du centre de prévention du cancer du sein de l'hôpital universitaire du sud de Manchester a décidé de se consacrer.Dans leur étude, publiée dans la revue Breast Cancer du 25 novembre 2015, les chercheurs ont constaté que le nombre de double mastectomies effectuées dans leur centre avait plus que doublé entre janvier 2014 et juin 2015 atteignant un total de 83 opérations alors que seulement 29 chirurgies mammaires préventives y avaient été réalisées entre janvier 2011 et juin 2012.S'ils n'ont pas sondé les patientes sur les motivations sous jacentes à une telle opération, Gareth Evans, professeur de génétique clinique, et son équipe supposent que "l'effet Angelina Jolie" y est pour beaucoup.
Au Centre de prévention du cancer du sein de l'hôpital universitaire su sud de Manchester, le nombre d'opérations chez les femmes porteuses des mutations du gène BRCA1 et BRCA2 est passé de 17 opérations réalisées entre janvier 2011 et juin 2012 à 31 pour la période janvier 2014 à l'été 2015. Même les femmes non porteuses de ce gène y ont eu recours, soulignent les chercheurs notant que leur nombre était passé de 12 à 52 sur la même période.Ces derniers précisent qu'il faut compter un laps de temps de 9 à 12 mois intervenant entre la consultation initiale et l'opération. Un délai qui peut expliquer l'augmentation des chirurgies mammaires préventives essentiellement début 2014, soit 9 mois environ après l'annonce médiatique d'Angelina Jolie.Un effet qui s'est prolongé à long terme, selon les auteurs de cette étude. Il serait selon eux intéressant de voir si d'autres centres, en Grande-Bretagne et ailleurs, ont constaté des résultats similaires.Avec plus de 50.000 nouveaux cas annuels en France, le cancer du sein représente aujourd'hui la première cause de mortalité par cancer chez les femmes. Celles porteuses des mutations génétiques BRCA1 et BRCA2 ont environ un risque sur quatre d'être atteintes selon la Haute autorité de santé.Pourtant, 120.000 Françaises ignorent être porteuses de ce gène. Les nouvelles recommandations de l'instance préconisent un dépistage avant 50 ans et une éventuelle consultation d'oncogénétique.
Angelina Jolie, Madonna, Kim Kardashian... défigurées pour lutter contre les violences faites aux femmes
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- Publié le dimanche 29 novembre 2015 10:55
- Écrit par Téléstar
L'artiste italien AleXsandro Palombo, spécialiste de la dénonciation des discriminations a réalisé une campagne choc sur les violences faites aux femmes. Cet artiste a ainsi utilisé les portraits de femmes célèbres pour faire comprendre que cela n'arrive pas qu'aux autres. En France, 1 femme sur 5 est concernée par les violences conjugales et près d'1 sur 3 dans le monde. Pour dénoncer ces violences souvent silencieuses car les victimes n'en parlent pas, l'artiste italien AleXsandro Palombo a réalisé une campagne choc en utilisant le portrait de femmes célèbres. Il souhaite ainsi montrer que ces violences n'arrivent pas qu'aux autres. Par ailleurs, des stars françaises se sont aussi élevées sur les réseaux sociaux contre ces violences conjugales. "La vie peut être un conte de fées si tu brises le silence. Pas une femme n'est immunisée contre la violence conjugale. #stopalaviolencecontrelesfemmes". Tel est le slogan de cette campagne inscrit sur les huit portraits tirés par l'artiste italien. Angelina Jolie, Kim Kardashian, Kendall Jenner, Emma Watson ou encore Madonna ont toutes été défigurées par AleXsandro Palombo. Cette campagne a été lancée le 25 novembre dernier sur Facebook à l'occasion de la journée mondiale contre les violences faites aux femmes. Les stars françaises se sont aussi élevées contre les violences conjugales. C'est le cas d'Adèle Exarchopoulos qui a posté ce message sur Twitter : "Stop Violence against Women! #BeHerVoice #WhiteRibbon #IDEVAW". Ou encore Léa Seydoux, qui s'engagent depuis des années contre ces violences : "En 2015, dans un pays sur deux, le viol conjugal n'est toujours pas condamné. Nous devons tous nous mobiliser contre ces violences et ces discriminations, partout dans le monde." avait-elle annoncé le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme.