Angelina Jolie, Jennifer Lawrence… Une journaliste balance sur les stars
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- Publié le vendredi 8 juillet 2016 19:25
- Écrit par Paris Match
Une ancienne journaliste du magazine américain de référence «People» a décidé de prendre la parole pour révéler les vrais comportements des stars. Et ça décoiffe ! Sara Hammel a travaillé pendant 14 ans pour le magazine américain «People». Toutes ces années, la journaliste a rencontré les plus grandes stars de la planète. A présent, elle est à "la retraite", retirée de ce monde de strass et de paillettes. Mais elle a décidé de raconter son histoire dans un livre de près de 50 pages, intitulé «Confessions of a cynical celebrity journalist». «Cosmopolitan» dévoile ce vendredi quelques extraits.
A la première lecture, un constat : Sara n’est pas tendre avec ses anciens camarades et dénonce des stars aux comportements abusifs. Jennifer Lopez lui aurait craché au visage; Jennifer Lawrence reste un mauvais souvenir. «Lorsqu’elle daigne dire quelque chose, elle vous fait sentir qu’elle vous fait une grande faveur». "Interviewer Angelina Jolie c'est comme passer une audience avec la reine".Les deux stars ne sont pas les seules à être égratigner par la journaliste. Par exemple, Angelina Jolie. Selon Sara Hammel : «Interviewer Angelina Jolie, c’est un peu comme passer une audience avec la reine. Elle parle lentement, vous regarde peu dans les yeux et ne connecte pas vraiment».Heureusement, tout le monde n’est pas à mettre dans le même panier. D’après Sara Hammel, Victoria Beckham serait à l’inverse de l’idée qu’on se fait d’elle : drôle et très sympathique. Tout comme Michael Douglas qui ne se prend pas du tout au sérieux.La journaliste retracera ainsi dans ses mémoires des anecdotes sur des dizaines de célébrités. Elle dira tout ce qu’elle pense en bien ou en mal. La planète people tremble déjà.
Tensions entre Brad Pitt et Angelina Jolie : elle veut vendre Miraval, pas lui
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- Publié le samedi 25 juin 2016 10:02
- Écrit par Voici
Il y aurait de l’eau dans le rosé au sein du couple le plus glamour du monde. Brad Pitt et Angelina Jolie seraient en conflit à cause du souhait de l’actrice de vendre leur château de Miraval, situé dans le sud de la France.Plus qu’un immense château féérique, Miraval est aussi et surtout le berceau de l’histoire amoureuse et familiale de Brad Pitt et Angelina Jolie. C’est dans cette propriété varoise qu’ils avaient choisi de s’unir en 2014 devant leurs six enfants. Très attachée à la France, pays de sa mère aujourd’hui disparue, l’actrice avait choisi de s’y poser avec homme et enfants afin de leur transmettre un peu de cette culture maternelle auquel elle tient tant. Il est donc d’autant plus surprenant que ce soit elle qui ait pris la décision de s’en séparer, comme l’affirme Us Weekly.Un souhait très étonnant qui serait motivé par l’envie de la comédienne de « s’impliquer plus dans le monde politique » et de tenter un engagement gouvernemental au Royaume-Uni. La comédienne voudrait devenir résidente britannique et ne verrait plus l’utilité de conserver l’immense propriété de Miraval.Une option inenvisageable pour Brad Pitt, totalement sous le charme de ce domaine et de la douceur de vivre de cette belle région française. Fasciné par la viticulture et très impliqué dans l’exploitation de leur production de rosé bio, le comédien serait furieux après sa femme.Sachant que le couple ne devrait pas avoir trop de mal à s’acheter rubis sur l’ongle une résidence londonienne qui claque, on leur conseille de garder Miraval, de faire la paix et de fêter ça autour d’un verre de rosé maison bien frais.
Angelina Jolie et Brad Pitt : Cache-cache à l'aéroport de Los Angeles
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- Publié le mercredi 22 juin 2016 20:51
- Écrit par Pure People
Après avoir honoré leurs nombreux engagements professionnels, Angelina Jolie et Brad Pitt sont officiellement de retour sous le soleil californien. Mardi 21 juin, les deux stars américaines étaient ainsi aperçues lors de leur arrivée à l'aéroport de Los Angeles, quelques minutes après avoir respectivement débarqué de leur avion.La première arrivée au cours de l'après-midi fut l'actrice et réalisatrice de 41 ans, qui était entourée de ses deux fils, Maddox (14 ans) et Knox (bientôt 8 ans). Les frères de Pax (12 ans), Zahara (11 ans), Shiloh (10 ans) et Vivienne (7 ans) avaient suivi leur mère jusqu'à New York, où ils avaient notamment assisté à la représentation de la pièce Broadway Hamilton, puis à Washington ce lundi 20 juin. En sa qualité d'ambassadrice pour le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme, la star oscarisée était conviée par le secrétaire d'Etat John Kerry pour prononcer un discours à l'occasion de la Journée mondiale des réfugiés.Quelques heures après l'arrivée d'Angie, Brad Pitt attirait à son tour l'attention des paparazzi. Fraîchement débarqué d'un vol en provenance de la France, le comédien de 52 ans voyageait seul et venait d'assister aux 24 Heures du Mans auxquelles il a donné le coup d'envoi. Vêtu d'un jeans, d'une chemise anthracite, coiffé d'un chapeau assorti et chaussé d'une paire de bottines en daim beige, l'acteur hollywoodien se protégeait des crépitements des flashs en se frayant rapidement un chemin au milieu des caméras.Désormais réunis à Los Angeles, Angelina Jolie, Brad Pitt et leurs six enfants devraient donc réapparaître dans les prochains jours, tous ensemble cette fois. Après avoir beaucoup travaillé ces dernières semaines, aucun doute que les Brangelina devraient s'accorder quelques vacances bien méritées.
Angelina Jolie plaide la cause des 65 millions de réfugiés
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- Publié le mardi 21 juin 2016 17:30
- Écrit par Madame Le Figaro
À l'occasion de la Journée mondiale des réfugiés, l'actrice, invitée par le secrétaire d’État américain John Kerry, a livré un discours émouvant à Washington.Angelina Jolie a l'air grave et elle pèse ses mots. À l'occasion de la Journée mondiale des réfugiés, l'actrice a livré un discours empreint d'émotions depuis Washington. Connue pour son engagement humanitaire, elle était invitée par le secrétaire d'État américain, John Kerry. Elle a profité de cette tribune pour appeler à un sursaut international en faveur des réfugiés, et déplorer l'urgence de leur situation.« Je vous demande de comprendre qu'avec 65 millions de personnes déplacées à cause des conflits, nous sommes face à des guerres que nous ne pouvons ignorer », a-t-elle déclaré en jetant de furtifs coups d'œil à ses notes. Dans son allocution du lundi 20 juin, l'ambassadrice pour le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a souhaité que chacun prenne « un moment pour saisir pleinement l’importance de la crise des réfugiés et ce que cela signifie pour la paix et la sécurité dans le monde ».
"Canaliser les émotions".Pour contrer la montée de l’intolérance et de la xénophobie, Angelina Jolie a fait appel à « notre capacité à canaliser nos émotions pour nous engager dans des politiques qui réduisent l’insécurité plutôt que de l’enflammer ». À quelques mois du sommet mondial sur les réfugiés organisé par Barack Obama en septembre prochain, la militante demande aux politiques de ne pas attendre pour agir et trouver une approche qui ne soit pas seulement basée sur l’aide et la réinstallation à l’étranger, mais aussi « sur des solutions de stabilité et de retour des populations. » Depuis mai dernier, l'envoyée spéciale du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés est également professeure invitée à la prestigieuse London School of Economics. À ce titre, elle contribue au programme du nouveau master sur « les femmes, la paix et la sécurité » qui vise à promouvoir l'égalité des sexes et aider les femmes touchées par les conflits dans le monde entier.
Angelina Jolie raconte son accouchement en Namibie
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- Publié le lundi 20 juin 2016 19:04
- Écrit par 7 sur 7
Très impliquée dans diverses causes humanitaires, l'actrice a partagé les difficultés que certaines femmes peuvent traverser durant leur accouchement.Vendredi, Angelina Jolie était invitée dans l'émission "Women's Hour", sur la radio de la BBC. L'actrice de 41 ans y a partagé l'histoire de son accouchement en Namibie, il y a dix ans, et les difficultés que de nombreuses femmes peuvent traverser en accouchant dans certains pays du continent africain."J'étais dans un hôpital en Namibie, pour avoir ma fille, et elle était en siège. J'avais besoin d'une césarienne, et je le savais parce que j'avais déjà eu droit à une échographie. Mais je me suis rendue compte que cet hôpital local, avec plein de femmes, un très bon hôpital, n'avait même pas le matériel nécessaire pour faire une échographie".Pour l'actrice, certains problèmes pourraient ainsi être réglés de façon très simple: "Imaginez le nombre de femmes qui ne savent pas qu'elles ont un bébé en siège, le nombre de complications que l'on pourrait éviter avec une simple machine", a poursuivi la star. "Mais je sais qu'il y a beaucoup de gens extraordinaires qui travaillent sur ce sujet et pour la santé des femmes dans le monde entier. Leur travail est réellement nécessaire et de nombreuses solutions peuvent en découler".