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Pourquoi Angelina Jolie est en visite dans la Sainte-Baume ce mercredi après-midi

           Angelina Jolie remet ce mercredi dans la Sainte-Baume les diplômes à la première promotion du programme " Women For bees".Il y a du beau monde dans la Sainte-Baume ce mercredi. Les huit apicultrices du projet "Women for bees" vont recevoir leur diplôme des mains de leur marraine, Angelina Jolie, de la directrice générale de l'Unesco Audrey Azoulay et d'Antoine Arnault, responsable de la communication et de l’image du groupe LVMH.Le programme, initié par la Maison Guerlain en partenariat avec l’Unesco et l’OFA est ambitieux et remplit un double objectif : promouvoir l'autonomie des femmes et lutter pour la préservation de la biodiversité.Pour ce faire, chaque année, l'Observatoire français d'apidologie recevra une dizaine de femmes qui seront formées à l'apiculture."Pour toucher des femmes du monde entier, nous avions besoin de quelqu’un jouissant d’une notoriété mondiale, quelqu’un qui parle à tout le monde", explique Thierry Dufresne, président de l'Observatoire d'apidologie."L’actrice américaine Angelina Jolie, égérie de Guerlain et voisine corrensoise, a rapidement fait part de son intérêt pour " Women for bees " et a accepté de prêter son image à la campagne de communication. Elle a eu la volonté de s'imprégner de cette mission et a posé couverte d'abeilles. Cette photo a permis de donner une notoriété mondiale à l'opération. "Mardi, l'actrice américaine a passé la journée avec les toutes nouvelles apicultrices. La promotion devait initialement accueillir des femmes de Chine, du Cambodge, du Rwanda ou de l'Ethiopie."Avec la crise sanitaire, on a rapidement compris qu’il serait impossible de les faire venir en France."La première session est donc moins internationale que prévu mais les profils des jeunes femmes sélectionnées laissent augurer une pleine réussite de l’expérience."Elles symbolisent une prise de conscience. Ces femmes ont suivi des études, ont eu une belle carrière et ont décidé, à un moment de leur vie de se consacrer à la biodiversité et à la protection de la vie", se réjouit Thierry Dufresne."Elles ont été en immersion totale. C’était un peu un Vis ma vie d’apiculteur. Ensuite, chacune va créer sa propre exploitation apicole dans les réserves de biosphère reconnues par l’Unesco. Elles pourront alors essaimer dans le monde entier et former de nouvelles apicultrices."

 source : Nice Matin youtube

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