Angelina Jolie : "Tourner une scène de sexe avec Brad, ce n'était pas si dur"
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- Publié le mercredi 30 novembre -0001 00:00
- Écrit par Première
Pour sa troisième réalisation, By The Sea, Angelina Jolie a tourné une scène de sexe avec son mari.Alors qu'Invincible n'est même pas encore sorti, Angelina Jolie a déjà tourné son long-métrage suivant, By The Sea. L'histoire d'un couple en crise filmée entre Malte et le sud de la France dont elle s'est offert le premier rôle, face à Brad Pitt. Le couple, qui s'était rencontré sur le plateau de Mr and Mrs Smith en 2005, n'avait plus tourné ensemble depuis. Angie et Brad se retrouvent donc pour décrypter l'intimité des deux amants. D'après les premières photos du projet, ce ne sera pas forcément très joyeux, mais il y aura au moins une scène de sexe, vient de révéler la star à MTV. "Et comme j'étais la femme avec qui Brad la tournait, ce n'était pas si dur, s'amuse Angie. Il sait ce dont j'ai besoin. Toujours". Mais encore ? Miss Pitt n'en dira pas plus, elle préfère pour l'instant parler de son autre projet, Invincible, qui sortira le 7 janvier prochain et qui relate le destin hors du commun de Louie Zamperini, un jeune athlète olympique devenu héros de la Seconde Guerre Mondiale.
Pour le coup, tourner ce biopic lui a paru particulièrement difficile. "C’est très dur de devenir réalisatrice, explique-t-elle dans le nouveau numéro de Première. Surtout après avoir passé si longtemps à me considérer moi-même comme une actrice. J’aime la mise en scène et je fais de mon mieux pour apprendre, mais je manque toujours d’une forme de confiance en moi, que je m’efforce de construire. C’est plus difficile que tout ce que j’ai pu faire jusqu’à présent. Invincible encore plus que Au pays du Sang et du miel, parce que c’est la première fois que je réalise un film pour un studio, et que les tâches à accomplir étaient considérables compte tenu de la taille du budget, correct mais modeste. Il fallait reconstituer la Californie des années 20, les Jeux Olympiques de 1936 sous Hitler, trois camps de prisonniers, un périple de quarante-sept jours sur un radeau... Sans compter deux crashs d’avion, qui exigent une logistique spécifique. Il m’a fallu apprendre beaucoup, écouter, poser des tas et des tas de questions. Et puis, je ressentais une responsabilité supplémentaire de bien faire parce que j’étais devenue proche de Louis à la fin de sa vie. C’était devenu une affaire personnelle."